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Qu'il s'agisse d'une, deux, huit ou quinze heures par jour, nous sommes face à l'écran, souris en main, et clavier à portée de main. La machine se résume pour nous à ces quelques composants qui permettent de faire entendre raison au tas de circuits qui traine sur le bureau. L'oeil est rivé sur l'écran tout au long du travail, tous les ordres arrivent à la machine par la souris ou le clavier. Et ça dure, et ça dure ainsi toute la journée. Le soir arrive ; le travail est inachevé, on se presse, commet des erreurs, les yeux sont rougis par la fumée de cigarette, les mains douloureuses à force de tenir la souris. Bref, on souffre d'incomfort.

Les périphériques les plus méprisés par les services achats sont les trois ci-dessus. Il leur apparaît en général que l'acquisition d'un écran plus grand, ou de meilleur qualité n'apporte rien, qu'une souris est une souris et que peut importe le prix que l'on y met, qu'un clavier ne sert qu'à taper et qu'il n'a donc pas besoin de technologies particulières.
Mais naturellement l'utilisateur ne connaissant que son bol de riz quotidien et ne s'intéressant que fort peut à l'amélioration de sa qualité de travail, il ne poussera pas le responsable des achats à mieux l'équiper. Cet état de fait reste également valide pour une grande part des utilisateurs privés, bien que ceux-ci aient quand-même tendance à de plus en plus s'intéresser à leur investissement et à sa compréhension.

Et c'est bien sur un plan de mauvaise information que ce place ce mépris de ces trois périphériques. Alors qu'ils semblent secondaires, il faut bien comprendre qu'ils sont capitaux dans le rapport que l'on a à la machine et qu'étant les vecteurs de cette communication, ils ne doivent pas être pris à la légère.

A suivre...

par Beetlejuice